Une exposition du CAUE du Calvados
Avec son appel à idées Des sacrées églises, le CAUE du Calvados a proposé un défi : réinventer l’architecture d’une église pour y envisager de nouveaux usages. Découvrez les propositions originales et inspirantes des participants.
L’appel à idées Des sacrées églises, vers une réutilisation des églises invitait les candidats à répondre à la question du devenir des églises en proposant de repenser des programmes peu communs dans ces bâtiments à l’architecture atypique. Car des reconversions de patrimoine religieux et à fortiori d’églises, il y en a peu et la plupart des exemples, réutilisations bien souvent inattendues, se trouvent à l’étranger. Cet appel à idées a pour but d’élargir notre vision sur la possibilité d’une seconde vie pour ces bâtiments, lorsque leur usage premier, par son absence, ne justifie plus d’investissement financier de la commune. Occupant une place primordiale dans le bourg, ce bâtiment fait preuve d’un potentiel urbain et se positionne comme une vraie centralité dans chaque commune. Enjeux à la fois financier et technique aujourd’hui avec le regroupement de communes, les questions se posent alors : coût de l’entretien, usage du bâtiment, pertinence de la reconversion… Trois sites étaient proposés aux candidats avec trois propositions de reconversions différentes : usages partagés, pôle de santé et programme touristique.
Le CAUE du Calvados lançait cette année son troisième appel à idées, ouvert à un large panel de candidats, étudiants en architecture, architectes, urbanistes, paysagistes, ingénieurs, thermiciens, aménageurs, constructeurs, architectes d’intérieur, designers… Celui-ci s’inscrit dans Les Défis du CAUE 14, label créé par le CAUE du Calvados depuis plusieurs années, avec pour objectif de mettre au défi les participants sur des thématiques propres à la conception du cadre de vie (architecture, urbanisme, paysage).
Du mercredi au dimanche, 13h-19h, entrée libre
Une exposition de la Cité de l’architecture & du patrimoine
Dès les années 1960, l’architecte belge Lucien Kroll et son épouse Simone potière et jardinière, dessinent les contours d’une autre architecture donnant aux habitants le pouvoir d’imaginer, de décider et de construire collectivement.
Un adversaire résolu de la ville fonctionnaliste
Lucien Kroll se bat toujours sur les deux fronts : des idées et des faits, de la théorie et de la pratique, du fond et de la forme. Il oppose la retenue au gaspillage, l’humanité à l’égocentrisme. Chaque texte de Lucien Kroll met à nu les mécanismes économiques et industriels qui s’emploient à détruire ce qu’il appelle “vicinitude”, cette proximité douce entre les maisons, les quartiers, qui suscite les solidarités et rend les rapports humains plus bienveillants. Il explore et explique des démarches alternatives, positives et inclusives, qui s’appuient sur l’écologie, la complexité, la participation et l’incrémentalisme, méthode savante que lui définit simplement : « science de la débrouillardise : on apprend à marcher en marchant ». Chaque projet révèle son engagement. Loin d’être un utopiste, Lucien Kroll s’y affronte au réel. Son propos est le tissu des villes, lieux et trames où les hommes vivent, se côtoient, se parlent, pleurent, rient, s’entraident, s’aiment. Il refaçonne cette matière, appelé souvent sur le lieu des pires dérives de la modernité, comme ces grands ensembles ruines qu’il refuse de démolir et préfère réparer, inversant le système pour écouter leurs habitants plutôt que la technocratie qui les a conçus et n’a pas su les rendre vivables. Lucien Kroll n’en fait pas un patrimoine moderne mais les traite – enfin comme un véritable habitat populaire que l’on peut élargir ou rehausser, creuser d’une terrasse ou recouvrir d’un toit. Barres, tours et quartiers redeviennent maniables et hospitaliers.
Un maitre du plan
Et c’est là précisément que se révèlent son savoir-faire, son imagination et sa liberté. Ses croquis, vues générales ou détails constructifs, sont d’une précision, d’une justesse, d’une exactitude confondante. Ils sont simples, clairs, modestes, efficaces et toujours très beaux. Les plans révèlent la délicatesse et la minutie dans l’organisation des masses, la subtilité des espaces, la liaison délicate des matériaux. Il faut regarder ces plans, ces vues cavalières où figurent déjà des êtres humains en train d’habiter, il faut regarder comment le chantier transforme ces dessins en architecture pour juger sur le fond l’intelligence et la subtilité de l’architecture de Lucien Kroll.
Entrée libre, du mercredi au dimanche, de 13h à 19h
Crédit photo : 1998 Dordrecht ZV-werf-050627-0032 © LK
Une exposition-atelier conçue par la Cité de l’architecture & du patrimoine
Cette exposition-atelier offre aux jeunes et moins jeunes la possibilité de faire l’expérience de grands principes d’architecture par le jeu et la création. Formidables vecteurs pédagogiques pour faciliter la compréhension de l’architecture, les jeux de construction favorisent à la fois l’imagination, la créativité et la motricité tout en étant de merveilleux supports pour comprendre et faire l’expérience de notions complexes et essentielles à l’architecture tels que la tridimensionnalité, la symétrie, les équilibres et les proportions.
Entrée libre, du mercredi au dimanche, 13h-19h
À la question de savoir en quoi consiste le métier d’architecte, souvent les enfants répondent « il construit des maisons », et pourtant, chaque année seuls 5% des maisons construites sont le fruit du travail d’un architecte. La Maison de l’architecture de Normandie – le Forum est heureuse de faire découvrir ces merveilleuses maisons. Merveilleuses car répondant aux souhaits des propriétaires, à leurs attentes, à leur mode de vie, à l’évolution de leur famille, à leurs moyens financiers et à leurs projets de vie. Ces maisons sont parfois en ville, parfois à la campagne, elles sont conçues pour le quotidien ou pour les vacances, pour des célibataires, des couples, jeunes, plus âgés, des familles à géométrie fixe ou variable. Elles répondent à des envies de nature, de lire, de faire de la musique, de ne pas monter d’escalier ou alors de se percher sur un toit, de voir la mer, de ne pas utiliser de chauffage, de laisser entrer le soleil, d’avoir plus d’espace ou de faire le choix d’un tout petit espace, de faire la fête, etc. Elles sont merveilleuses pour chacun de ceux qui les ont voulues et qui ont mis leurs souhaits entre les mains d’un architecte.
Exposition produite par la Maison de l’architecture de Normandie – le Forum avec le soutien du Conseil de l’Ordre des architectes de Normandie et de la DRAC de Normandie
Entrée libre, du mercredi au dimanche, 13h-19h
Crédit photo : Alice Boursini photographe. Architecte : Antonin Ziegler
Une exposition co-produite par le Pavillon de l’Arsenal et amàco
Murs en béton de chanvre ou en bottes de paille porteuses, charpentes en bambou, couvertures et bardages en roseaux, isolants en paille, chanvre ou herbes marines, tuiles de palmier, garde-corps en osier…, l’exposition Fibra Architectures rassemble plus de 50 constructions réalisées avec des matériaux en fibres végétales dans le monde entier.
Face à l’épuisement des ressources, cette manifestation explore les potentiels des plantes à croissance rapide et leur usage pour les architectures et la ville de demain. Elle s’inscrit dans la continuité des expositions, recherches et expérimentations initiées par le Pavillon de l’Arsenal depuis 2014 sur le réemploi des matériaux et la construction en terre crue ou en pierre des carrières franciliennes.
Les bâtiments présentés révèlent une modernité frugale associant valorisation de ressources et savoir-faire locaux, mesures bioclimatiques et design contemporain. Ils ont été sélectionnés dans le cadre du FIBRA Award, premier prix mondial des architectures contemporaines en fibres végétales, initié et porté par amàco et Dominique Gauzin-Müller. Chacun de ces 50 projets témoigne de l’ingéniosité de ses architectes et ingénieurs, de la volonté de son maître d’ouvrage et des compétences des artisans et entrepreneurs, œuvrant ensemble pour une architecture économe en énergie et en matériaux.
L’exposition dévoile ces matériaux en fibres dotés de formidables capacités structurelles et de hautes performances thermiques et hygrométriques au travers de tables sur la transformation des matières brutes, de photographies, de prototypes à l’échelle 1 et de vidéos de chantier. Le visiteur peut ainsi plonger au cœur de ces matières végétales tout en admirant la créativité des réalisations présentées.
En 2015, lors de la COP21, les états se sont engagés à endiguer les dérèglements climatiques. Le respect de ces engagements appelle une forte réduction de l’empreinte environnementale des bâtiments existants et futurs. Développer de nouvelles écritures architecturales valorisant les matériaux biosourcés, grâce à des techniques artisanales et des processus industriels innovants, est une piste prometteuse.
Crédit photo : Alberto Cosi_Bamboo-Sports-Hall-Panyaden-School
Une exposition du Conservatoire du littoral, conçue par le CPIE Vallée de l’Orne dans le cadre programme adapto
Imaginez-vous en 2097 ou 2099, la Normandie sera toujours là avec sa culture, ses habitants, ses villes, ses campagnes.
Mais une chose aura changé : notre climat ne sera plus le même. « Y’r pleut » fera certainement parti du passé. Il fera plus chaud et la mer se sera élevée de plusieurs dizaine de centimètres. Nos habitudes de vie, les paysages et la biodiversité s’en trouveront changées.
L’exposition 2100 « l’odyssée de l’estuaire », prend le parti de la parodie pour traiter de ces sujets sur notre littoral. L’humour permet souvent d’aller plus loin, pour mieux saisir les défis qui devront être relever autour de l’estuaire de l’Orne qui court de Caen à la mer.
Le CPIE Vallée de l’Orne propose, à travers des articles imaginaires d’une presse people de la fin du siècle, des sujets qui pourraient être d’actualité pour les générations futures sur les communes bordant l’estuaire : hausse du niveau marin, changements de faune, évolution de pratiques touristiques, recomposition spatiale… Si les situations peuvent sembler exagérées, elles sont toutes basées sur des éléments véridiques.
Cette exposition s’intègre dans le projet adapto du Conservatoire du littoral, soutenu par l’Union Européenne. Il s’agit ici d’imaginer comment pourrait évoluer le littoral dans un contexte de changement climatique. Avec le réchauffement climatique le niveau de la mer va monter. Le maintien en l’état des digues n’est pas l’unique façon d’appréhender l’avenir de ce territoire. Il s’agit d’explorer des solutions fondées sur la nature pour gérer de façon plus souple le trait de côte. L’objectif est de démontrer l’intérêt écologique et économique d’améliorer la résilience des espaces littoraux tout en participant à la protection des activités humaines.
Le changement climatique, c’est maintenant ! Soyons créatif pour l’anticiper et s’y adapter. Bon voyage dans une presse décalée de la fin du siècle !
Le lien pour en savoir plus sur le programme adapto : Site du programme adapto
Du mercredi au dimanche, 13h-19h, entrée libre
Photo visuel de couverture : © Jean-David Petiot – CPIE Vallée de l’Orne
Dans le cadre du festival Palma
Sonik prospecte tous types de supports pour peindre. Il pratique le graffiti sauvage et embrasse allègrement toutes les disciplines qui y sont inhérentes : typographie, dessin, marche, architecture, escalade, photographie… Son goût pour l’aventure et l’exploration l’entraîne vers des lieux aux caractères marqués, des zones péri-urbaines chaotiques, notamment dans les Balkans dont il est originaire. Il y commence un travail photographique relevant à la fois du documentaire et du journal intime. Au delà de l’archivage de ses peintures, il s’attarde sur le contexte et capture les détails vernaculaires qui l’interpellent. Sonik porte un regard attentif sur les villes et ceux qui y vivent.
Une exposition ouverte à tous
SAM 09 Fév, 15h, Rencontre avec Adrien Boyer et Michel Poivert
Proposée par l’Ardi-Photographies, dans le cadre de l’exposition Adrien Boyer. La rencontre entre l’artiste et le professeur en présence des œuvres proposera d’explorer le sujet de la commande et la question du portrait de la ville.
DIM 10 Fév, 15h, Conférence-débat sur l’histoire du port de Caen, du 19ème siècle à nos jours par François Biquet, Docteur en Histoire dont la thèse porte sur l’histoire du port de Caen.
Gratuit, ouvert à tous dans la limite des places disponibles
Les photographies d’Adrien Boyer suggèrent notre environnement au quotidien en faisant naître des harmonies colorées que seul notre climat produit sous l’influence des joutes entre les nuages et l’astre. Des surfaces planes s’interposent, des matières accrochent la lumière, parfois apparaissent des signes typographiques et même un soupçon de végétal. Frontalité ou perspective, la composition affirme l’une ou l’autre et parfois hésite pour mieux nous transporter dans un univers graphique que nos habitudes nous font ignorer. Le photographe, tel un aventurier, met en évidence l’inconnu ou l’invisible.
Le Pavillon présente le rendu de cette campagne photographique, initiée par l’Ardi-Photographies.
Entrée libre. Du mercredi au dimanche, 13h-19h
À partir de son travail « Drawing by walking » poursuivi lors d’une résidence à Tokyo, Patrice Balvay investit le Pavillon et le territoire.
Il présentera son travail réalisé au Japon et sera en résidence de création au Pavillon à partir d’une marche sur le territoire de la presqu’île. Il s’agira d’expérimenter physiquement la diversité et l’intrication des différents paysages de la presqu’île pour en réaliser une transcription graphique monumentale sur le temps de résidence.
La presqu’île est un territoire en pleine mutation. Il s’y chevauche des paysages post-industriel, des installations de productions encore en activité, des étendues naturelles, des bâtiments nouveaux construits ou en cours de construction. Entre eau et terre, la presqu’île rassemble une très grande diversité de paysages, qui sont parfois très intriqués. Cette juxtaposition des espaces reflète une superposition des temporalités. L’enjeu de ce territoire est de trouver une unité à partir de la diversité qui le compose, de proposer un devenir sans effacer le passé.
Patrice Balvay pratique le dessin de manière performative. L’énergie engagée, la résistance du support et l’usure de l’outil conditionnent le dessin. L’engagement physique sur le papier se nourrit de déambulations dans le paysage, qui sont autant de traversées de l’espace par le corps, que de traversées du corps par l’espace.
Période de collecte et de marche sur la Presqu’île : du 25 au 28 novembre
Résidence de création au Pavillon : du 4 au 7 décembre, du 9 au 14 décembre et les 16 et 17 décembre.
Crédit photo : Patrice Balvay
UNE ARCHITECTURE DE REEMPLOI, DE RECYCLAGE ET DE RECUPERATION POUR SA MICRO-ENTREPRISE
Le CAUE de la Sarthe a lancé son 6ème festival d’architecture « Petites Machines à Habiter » sur le thème du détournement, réemploi, récupération et recyclage.
Ce concours d’idées a pour thème de concevoir à partir d’éléments industriels détournés (buse, conteneurs, wagon…) associés à des éléments recyclés (bouteilles, palettes, vieilles huisseries…) une architecture destinée à recevoir le siège d’une entreprise naissante (petit artisanat ou tertiaire) ».
C’est une partie des propositions qui sont présentées dans cette exposition, sous forme de planches et de maquettes.
Exposition créée en 2013 dans le cadre de la 6ème édition du festival « Petites Machines à Habiter » consacré à la petite architecture. CAUE de la Sarthe
Du mercredi au dimanche, 13h-19h, entrée libre
Caennais, Normands, touristes ? Le Pavillon vous accueille tout l’été et vous propose une escale douceur et curieuse :
. Une exposition (un peu) sérieuse mais inspirante : Réver(cités), villes recyclables et résilientes
. Une mini exposition tout aussi (un peu) sérieuse et inspirante : Caen presqu’île, un projet pour un territoire recyclable et résilient
. Un espace pour se poser, faire une sieste, pique-niquer à l’ombre, jouer, lire, se retrouver…
. Une terrasse à occuper : sièges et transats à disposition pour profiter du quai et du paysage
. Un programme IN (ateliers, expérimentation, … au Pavillon) et OUT (balades, atelier extérieur, installation,…) pour tous
. Des siestes électroniques (ou pas) les dimanches…
La 5ème édition de la biennale d’architecture et d’urbanisme de Caen se prépare.
Ce sera l’occasion de faire le point sur une thématique, abordée pendant des conférences, des ciné débat, une exposition pédagogique et interactive,…
Tout le programme : www.insitu-caen.com
La ville est-elle recyclable ? Peut-on construire un bâtiment à partir de déchets ? Un bâtiment de bureaux peut-il se transformer en logements ? À quoi ressembleront nos villes demain ?
L’Observatoire de la Ville choisit un thème pertinent pour imaginer des solutions innovantes pour la ville de demain. « Réver(cités), villes recyclables et résilientes » propose de réfléchir aux notions de flexibilité, réversibilité et résilience à l’échelle du bâti, du quartier et de la ville.
Une exposition de la Fondation d’entreprise Bouygues Immobilier
Du mercredi au dimanche, 13h-19h
Entrée libre
Le bocage : 24 avril
Un format court. S’arrêter sur un thème, partager une question, mettre une réflexion en discussion. 15 minutes pour exposer, 45 minutes pour réagir, échanger, débattre. Une date, un site. Une question : quelles sont les caractéristiques de l’architecture traditionnelle du site. Un débat : quelle réinterprétation contemporaine s’autoriser ? Comment éviter le pastiche ? A travers les réponses de l’appel à projet, ce sera l’occasion de s’interroger sur l’existence (ou non) d’une architecture contemporaine « régionale » possible… Tout un programme…
En présence des représentants du CAUE et des lauréats et mentionnés de l’appel à idée « Je réinvente ma maison »
Entrée libre. Ouvert à tous.
L’appel à idées du CAUE « Je réinvente ma maison, vers une évolution des typologies traditionnelles du Calvados » porte sur la proposition de concepts innovants pour la création d’une maison contemporaine qui respecte les codes de l’architecture locale et l’intégration paysagère.
Trois histoires familiales ont été proposées aux candidats sur les sites du Pays d’Auge, du Bessin et du Bocage.
Le CAUE a mis au défi les candidats ! Ils se sont inscrits, mais ne savaient pas sur quel site ils travailleraient. L’appel à idées portant sur trois secteurs géographiques du Calvados, chaque candidat ou équipe s’est vu attribuer un secteur de manière aléatoire.
L’appel à idées est avant tout un outil de réflexion et de communication à destination des élus, des habitants et des professionnels de la conception du cadre de vie.
Une exposition du CAUE du Calvados
Du mercredi au dimanche, 13h-19h. Entrée libre
Transmettre une culture architecturale et urbaine, c’est donner les clés pour regarder et comprendre nos lieux de vie, c’est fournir à tous les outils nécessaires pour en devenir responsable et acteur.
A ne pas manquer ! >> 14h-16h : Rencontre sur l’évidence de la transmission de l’architecture, en présence d’Ewa Struzynska, directrice du programme Architecture and Children – UIA Built Environment Education Network, des représentants de la DRAC Normandie, du rectorat de l’Académie de Caen, et des acteurs culturels normands
Une initiative du Caue du Calvados, de l’Ordre des architectes de Normandie, du Pavillon, de Territoires Pionniers
>> table ronde << 14h-16h Transmettons l’architecture !
Enjeux de la sensibilisation des enfants et des jeunes à l’architecture aujourd’hui. Intervenants : . Ewa Struzynska, co-directrice du programme Architecture & enfants, Union Internationale des Architectes . Nadia Inoubli, DRAC Normandie . Françoise Guitard, rectorat de l’Académie de Caen . représentants du CAUE du Calvados, du Pavillon, de l’Ordre des architectes de Normandie et de Territoires Pionniers. Sur inscription : inscription@lepavillon-caen.com, 02.31.83.79.29
>> atelier << 13h-19h L’architecture, l’urbanisme, le paysage !
D’accord. Mais comment fait-on pourl’aborder ? Un temps d’échanges et de rencontre sur les actions possibles, les ressources mobilisables, les outils pédagogiques disponibles…
Avec le CAUE du Calvados, le Pavillon, l’Ordre des architectes de Normandie, Territoires Pionniers et le Forum, les maisons de l’architecture de Normandie, l’ENSA Normadie
>> atelier 6-99 ans << 14h-16h, Autour de Fabien Vienne
Une leçon de géométrie, d’architecture pour un parcours singulier et passionnant. Ouvert à tous
>> l’architecture s’expose <<
Une exposition-atelier de la Cité de l’architecture & du Patrimoine et une exposition sur le Palmarès de l’architecture et de l’aménagement du Calvados
>> miam archi << 17h, Le Pavillon Goûtons ensemble !
Ouvert à tous, entrée libre
Une exposition du CAUE 14
Il s’agit ici de se projeter vers un urbanisme durable, maintenant l’équilibre entre parcelles vertes ou agricoles et terrain à bâtir, et de lutter contre le mitage des terrains. Le but de cet appel à idées est de penser l’habitat dans une densification urbaine croissante. Comment construire un logement spacieux et généreux sur des parcelles de plus en plus exiguës ?
Après son appel à idée « grande maison, petit terrain », le CAUE Calvados expose les propositions des candidats.
Mercredi 13 mars | 16h – Remise des prix
Du mercredi au dimanche, 13h-19h, entrée libre
Une exposition de Territoires Pionniers, dans le cadre de Chantiers communs
Découvrez les actions initiées avec les habitants et les trois équipes d’architectes accueillies en résidence dans leurs communes par territoires pionniers en 2018, comme autant de pistes à réinvestir collectivement dans nos propres lieux de vie ! Territoires pionniers a invité chacune des équipes à poursuivre sa résidence au Pavillon, du jeudi au samedi, un programme de rendez-vous (rencontres, randonnée curieuse, ateliers, projections, exposition…) ouverts à tous, vous est proposé.
Tout le programme de Chantiers communs : www.chantierscommuns.fr
Entrée libre, du mercredi au dimanche, 13h-19h